Initiative Action

CONCEVOIR UN MONDE MEILLEUR

La sagesse pragmatique engagée se doit de sonner l'heure juste à tout propos. C'est le devoir de l'homme libre de proclamer la vérité et c'est à la hauteur des responsabilités que se mesure le courage et la vaillance. Le monde meilleur se conçoit aujourd’hui à la hauteur de nos rêves et aspirations. C'est à l'audace de confronter l'absurde que se mesure la liberté d'esprit, et du frottement jaillit la lumière. Tout se résout dans l’Initiative d’Action.







lundi 19 septembre 2011

Pédagogie Andragogie

L’audace des pionniers répondra à l’appel criard au cœur des générations
Avec l’accélération des changements dans nos sociétés, les conflits de générations sont une réalité dont on ne peut échapper de nos jours, surtout face à l’alarmisme et aux jugements de valeur sous-jacents. Les sous-produits du fanatisme s’appellent alarmisme et jugement de valeur, pour ne pas parler de mépris arrogant et injuste. Évidemment ‘’la raison du plus fort est toujours la meilleure’’. Mais noblesse oblige.
Face à l’ignorance de nos jeunes, de l’essentiel de ce que nous croyons savoir, nous devrions avouer notre ignorance de ce qu’ils maîtrisent 10 fois mieux, avouer notre ignorance de ce qui les habite et crie si fort dans leur cœurs. L’intelligence est essentiellement pragmatique et stratégique, elle se fiche pas mal des tabous de la tradition et des valeurs désuètes. Les jeunes vivent ici et maintenant et se fichent pas mal de la sacro-sainte étymologie linguistique qui devrait d’ailleurs concerner les seuls spécialistes. (Il y a peut-être beaucoup moins de règles que d’exceptions à la règle en français).
L’explosion du savoir a élargi la sphère des connaissances à une dimension 1000 fois plus grande, pour en dire le moins. Il est grand temps de faire le tri et imputer à chacun le devoir de maîtriser sa spécialité et cesser de taxer fortuitement les autres dimensions de la connaissance. L’excellent français n’est pas un critère pour éclipser toutes les autres compétences. Le mal est structurel. Il incombera à ceux qui se sont évertués des décennies durant à réinventer la roue sans remettre en cause la vieille perspective aux fins d’une liberté nouvelle de jaillissement d’autres valeurs.
A celui qui ose dire : pourquoi nos enfants sortent de l’école, ignorants ? (le professeur Patrick Moreau) Je dirais attention au jugement de valeur. Je vous comprends bien, mais aussi importante est la langue comme véhicule de culture, elle n’est qu’une matière d’études parmi tant d’autres. Et le pragmatisme des jeunes, les appelle à apprendre tant d’autres jargons, langues et langages ; à n’en citer que le langage informatique et mathématique. De grâce, ne faite pas de l’école un foyer de souffrances ou de mal ‘’nécessaires’’. Attention, la raison du plus fort et les jugements fortuits, font souffrir les jeunes et creuse davantage le fossé entre les générations !
Un petit schéma vaut 1000 discours. Une simple anecdote dira en peu de mots, ce qui nécessitera tout un ouvrage de théorie et d’argumentaires à n’en plus finir.
Face à une problématique semblable qui confronte l’émancipation de son peuple, Mustapha Kémel Atatürk avait saisi le taureau par les cornes. Assez, c’est assez. Désormais nous écrivons notre langue exactement telle qu’elle doit être prononcée. Il n’a pas dit telle que l’homme de la rue la prononce, mais tel qu’elle doit idéalement être prononcée par les littéraires et les scientifiques du pays. C’était aux années 20, il y a presque un siècle et la société turque a emboîté le pas et fait une percée dans tous les domaines, dépassant de loin plusieurs nations européennes. Une percée que nul ne put freiner que la montée des intégristes et Moyen Âgistes des dernières décennies. Ils lui en veulent tous, parce qu’il a été un peu trop loin en imposant la substitution des lettres arabes par les lettres latines. Quel crime ! Mais en toute connaissance de cause, je sais que les littéraires arabes, se contentent d’écrire sans voyelles, figurez-vous ! Les voyelles en langue arabe ne sont pas des lettres écrites dans un mot, mais plutôt des signes flottants un peu dessus dessous ! Ce fut la tradition élitiste qui réservait la compréhension exacte aux seuls érudits.
Kémel a dit assez, c’est assez. L’émancipation exige la transparence et la précision dans la simplicité pour tous. Inutile de dire plus dans ce contexte pour convaincre les nostalgiques, que Moustapha Kémel a bien fait. D’accord, la langue arabe est celle du Coran sacré. Je suis contre l’abolition de l’écriture en lettres arabes, mais l’imposer tel qu’elle à d’autres nations, c’est du mépris pur et simple de leur intelligence.
Faut-il réitérer que ‘’Tout doit évoluer même l’écriture d’une longue’’ ?
Il paraît que l’Italiens comme certaines autres langues, s’écrit exactement tel qu’on le prononce. Cela ne fait pas de l’Italie un pays d’incultes ni une populace débrayée ; bien au contraire. Je suis tout à fait contre ‘’le nivelage par le bas’’ et je ne milite pas à côté de ceux qui veulent brader la grande culture française et la langue de Molière et Racine. Non ! Je suis l’élèves de la vieille école mais, les philosophes des lumières m’ont libéré de mille et un tabous. Soyez assurés que malgré tout ce que je dis, je maîtrise suffisamment bien trois langues, à l’écrit comme à l’orale. Je suis écrivain et même la langue arabe qui est encore plus difficile que le français, je la maîtrise à l’écrit mieux que beaucoup de littéraires et d’érudits. Pour un ingénieur qui n’a pas tant besoin de prouesses linguistiques pour communiquer l’essentiel, je ne suis pas la preuve d’une quelconque paresse mentale que certains tentent de propager.
Ceci dit, Non à la médiocrité, non au nivelage par le bas, Non au dénigrement et au jugement de valeur qui frise le mépris, mais en avant marche à la grande perspective évolutive de l’histoire des nations.

samedi 3 septembre 2011

Conduire sa vie dans la réalisation de soi


Chacun dispose du libre arbitre et, Rien au monde ne peut m’empêcher de penser ce que je veux penser. Rien au monde ne peut m’empêcher de garder le focus sur ce que je veux, ni d’écarter de mon champ de conscience ce que je ne veux pas. En cela réside l’essence même de la liberté et de la responsabilité.

La loi de la vie est une loi de match vibratoire émotionnel. Ce, à quoi tu penses le plus fréquemment colore tes vibrations via les sentiments et les émotions induites par tes pensées car, toute forme pensée est porteuse d’une image (situation ou activité) qui provoque des sentiments venant colorer ta vibration. Or la vibration se propage et amplifie tout ce qui lui correspond. Tout ce qui est en phase avec cette vibration, est amplifié donc consolidé et attiré, tandis que ce qui est en opposition de phase est neutralisé donc rejeté ou écarté. Cela veut dire en fait, que tout ce dont tu as besoin, a besoin de toi et tout ce que tu recherches est en train de te chercher. Telle est la loi et toute vibration se propage comme un boomerang magnétique qui va te ramasser sur son chemin tout ce qui correspond à la couleur de ta vibration (joyeuse ou triste, frustrée ou contente). C’est là où réside en fait le seul piège dans l'équation. Le piège en tout cela est de penser fréquemment et concentrer sur le rejet de ce qu’on ne veut pas ou sur la peur du contraire de ce qu’on désire. Le sentiment étant plus puissant que la pensée, il va colorer la vibration qui se propage et s’amplifie automatiquement pour attirer ce que l’on craint de pire.
On se demande pourquoi. Est-ce que l’univers ne comprend pas qu’on ne veut rien de cela ?

L’univers dans son immensité, est géré par des automatismes et des lois automatiques. Tout est en perpétuelle gestation et construction. La vie est un processus de changement et tout ce qui vit évolue. Comme je l’ai maintes fois répété dans mes ouvrages : l’image de l’univers s’imprime sur ton subconscient émotionnel. Le subconscient étant subjectif, il ne fait pas de différence entre le réel, l’imaginaire, le virtuel et le fictif. Les électroniciens savent qu’un Ampli Différentiel, amplifie les tendances. Qu’elle soit positive ou négative, on en aura 1000 fois plus à la sortie !

Afin de conduire sa vie dans la réalisation de soi, il faut donc contrôler son intention et choisir délibérément le sujet de son focus et de sa réflexion la plus régulière. Pense constamment à ce qui te fait plaisir, à ce qui te fait sentir mieux et ne pense pas aux choses négatives qu’un seul instant et une bonne fois, pour toutes. Le négatif qui nous affecte, vient du résidu négatif du passé. Il est là pour marquer le contraste et donner l’occasion de choisir et désirer le contraire. Soyons fidèles à nos désirs les plus honnêtes et tournons le dos à toute tentation qui veut dévier notre énergie créative.

Tout ce qu’on désire est en réalité déjà là, quelque part dans ce monde. ‘Personne’ ne peut désirer l’impossible que personne n’a eu dans sa vie. La loi de manifestations agit immédiatement sur le plan vibratoire et commence son œuvre à l’instant même de l’émission d’un désir. Cela commence immédiatement à germer dans un univers fertile. L’univers est abondant d’énergie prête à épouser toute forme-pensée désirable (ou détestable) sur laquelle on maintient le zoom. La vitesse de matérialisation dépendra essentiellement de l’intensité du désir (émotion), de l’intensité de la foi et du mérite et peut s’accélérer à l’aide de deux facteurs. Elle peut s’accélérer en prêtant attention à tout ce qui témoigne de cette possibilité (chez autrui), comme elle peut s’accélérer en exprimant gratitude pour cette même chance et possibilité de joie anticipée pour ce qu’on désire.

À toi de jouer donc afin d’accélérer ton processus de manifestation. Si ton désir est immense et ta confiance dans cette loi est absolue, tu seras témoin de ce qu’on appelle 'miracle' quasi instantané. (Guérison, coup de chance, le gros lot…). Oui, à la limite, lorsque l’intensité du désir est infinie et la foi absolue donc infinie, la manifestation est carrément instantanée ‘’ out of the blue’’. C’est le côté ‘magique’ de la vie, car il n’y a pas de cause sans effet. Que cette cause soit objective ou subjective. Cela n’a rien à voir avec la pensée magique. En mathématique, toute fonction, à sa limite perd tout aspect de linéarité et de proportion. Elle évolue en avalanche près de l'asymptote! C'est ce qui ressemble au miracle. Le moindre dx provoque un dy immense. Pour déplacer une montagne il faut au moins une cause, ne serait ce qu'un ''grain de moutarde de bonne foi'', car il n’y a pas d’effet sans cause. Mais peu de gens admettent qu’il n’y a pas de cause sans effet. Ne pas admettre le corollaire ou la ‘réciproque’, c’est en effet de la pensée magique. Il n’y a pas d’action sans effet enregistrable dans un sens ou dans l’autre et le cumul aboutira au résultat. Chaque grain de sable a son poids sur la balance. Le dernier grain déposé, fera basculer le plateau. Bref, la poule sait bien couver patiemment ses œufs avec une joie anticipée.

Tout est énergie E=MC2 et procède de l’énergie. Tout émane de la même substance universelle ou ce jus énergétique. Les scientifiques savent que tout provient de combinaisons différentes des mêmes électrons, protons, neutrons, et de leurs émissions vibratoires. L’essentiel à admettre est que tout est régi par le déterminisme étroit et obéit strictement à la loi de cause à effet.

Cependant, en ce qui est de l’art de manifestation consciente, attentions à ces lois automatiques aveugles et surtout attention au self sabotage ! Il ne faut pas attirer ce qu'on ne veut pas, ni avorter ce qu'on désire ardemment. Après avoir enclenché le processus créateur, l’impatience et l’obsession de ‘juger objectivement’ selon ce qui est là, provoquent le doute, le désespoir et la consternation ! Il faut simplement savoir que, chaque fois qu’on doute, on amplifie la vibration du contraire de ce qu’on veut. On ne fait que reculer sur le chemin vibratoire de la manifestation. Si l’on va jusqu’à s’insurger et juger invalide cette’ utopie’ de la loi d’attraction, on vient d’avorter son projet de co-création avec l’univers. Même si l’on ne lâchait pas son désir complètement, on aura affaire avec la tentation de tout faire ‘par’ soi-même, bon gré, malgré le monde et sa ‘stupide’ loi de la vie! On fait fi et l'on se met à dénigrer ainsi la loi de l’harmonie universelle.

Ce n’est pas un péché en soi, c’est tout juste insensé ! Comme on oublie qu’on ne s’est pas créé soir même. Alors, advenait qu’on réussisse et qu’on obtienne ce qu’on veut par la force du combat et la compétition féroce, aucune satisfaction viable ne subsistera. A long terme, on ne voudra plus refaire à nouveau un chemin si dure, chemin de souffrance. On renoncera automatiquement à nos désirs et on se contentera de la déchéance. On est devenu, un avorta incarné, un représentant canonique du fatalisme et de la médiocrité. Ce que je ne souhaite même pas à ‘l’ennemi’.
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